Netflix n’a vraiment plus rien à me prouver concernant sa capacité à produire des séries de haut vol. Il faut dire qu’après « House of Cards », nos amis d’outre-manche pourraient très tout arrêter maintenant et garder mon respect éternel. … Dans d’autres mesures, j’ai bien aimé la comédie norvégienne « Lilly Hammer » tout comme la série fantastique « Hemlock Grove », issues de leur cru.
C’est donc confiant et curieux que je me suis attaqué à « Orange is the new black », leur nouvelle série contant les aventures de trafiquantes de drogues lesbiennes en milieu carcéral. Je commence à vous intéresser là, non ?
Orange is the new black : Prison pour femmes
« Orange is the new black » nous raconte le parcours de Piper Chapman, une jeune femme épanouie sur le point de se marier. Un jour, alors qu’elle s’y attend le moins, son passé refait surface et la voilà invitée à comparaitre au tribunal dans le cadre d’une vieille affaire. Tout le monde découvre alors avec stupeur, y compris son fiancé Larry, que la blondinette avait été dix ans plus tôt l’amante d’Axel Vause, une trafiquante de drogue, pour qui elle transportait parfois quelques valises…
Orange is the new black – Le groupe des latino
Piper se retrouve, dès le premier épisode, incarcérée dans une prison à sécurité minimale pour femmes où se mélangent de nombreuses personnalités hautes en couleurs. Même si ce n’est pas « Oz », on retrouvera, comme dans toutes prisons, les blacks, les latinos, les racistes et même un groupe d’extrémistes catholiques.
Orange is the new black – Crazy Eyes, un personnage touchant
Piper, un peu précieuse, se retrouve vite prise pour cible par ces femmes, toutes plus barges les unes que les autres, qu’elle devra affronter pour survivre dans son nouveau quotidien. L’histoire se complique d’avantage, puisqu’Axel, son ancienne amante, est incarcérée dans cette même prison… Les relations entre les détenues, son ex-amante, son mari à la ramasse, les gardiens ripoux et les nombreux règlements de comptes propres au milieu carcéral donnent un rythme soutenu à la série tout le long des 13 épisodes créant une addiction quasi immédiate ; vous voilà prévenus.
Avis sur cette première saison de « Orange is the new black »
Orange is the new black – Tiffany a abusé de meth avant de convertir dans le christianisme
C’est vraiment pas mal du tout ! Tout d’abord, c’est avec plaisir que j’ai retrouvé quelques têtes connues comme Jason Bigg (American Pie) et Laura Prepon (That 70’s Show), mais aussi que j’ai découvert ce panel d’actrices pétillantes et très crédibles dans leurs rôles respectifs. Le jeu d’acteurs est très bon et les personnages qu’ils interprètent sont forts et, malgré les caricatures cyniques qu’ils incarnent, finissent par devenir très attachants.
« Orange is the new black », parvient avec brio, au travers ce récit autobiographique, à créer un univers singulier abordant, sans doute de façon un peu légère, un univers rarement mis en évidence. Après Weeds, Jenji Kohan, nous démontre une fois de plus son savoir-faire et pour ma part, j’attends impatiemment la saison, 2, prévue pour le 6 juin prochain.
Orange is the new black – Piper et Alex, alors on danse?
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Ca y est, j’ai pris mon abo Netflix, et j’ai commencé la série. Après 3 épisodes, je suis déjà accro, c’est frais, ça se regarde sans longueur, et ça fait plaisir de voir Jason Bigg qui a un peu grandi. Par contre j’y vais mollo, pas plus d’un épisode tous les 2-3 jours, je ne voudrais pas me retrouver trop vite à la fin de la première saison ;)
Ca y est, j’ai pris mon abo Netflix, et j’ai commencé la série. Après 3 épisodes, je suis déjà accro, c’est frais, ça se regarde sans longueur, et ça fait plaisir de voir Jason Bigg qui a un peu grandi. Par contre j’y vais mollo, pas plus d’un épisode tous les 2-3 jours, je ne voudrais pas me retrouver trop vite à la fin de la première saison ;)
Ah oui j’ai adoré, la deuxième saison vu un peu la publication de l’article est tout aussi bien. Niveau série t’inquiètes pas car il y en a tellement