C’est bientôt Noël, et on parie que les hottes seront pleines de cadeaux geek ! Face à l’immensité, comment choisir… ? Chez Sitegeek, on est sympa : on a décidé de vous faciliter le travail. Entre références et nouveautés, nous avons choisi de tester les marques et produits qui pourraient entrer dans le « hotte parade » de Noël. Au tour du combo Sonos Playbar et Sonos Sub.
Une après-midi avec la Sonos Playbar et le Sonos Sub
Qui est Sonos ?
Ce spécialiste californien du son sans fil est encore un jeunot, avec tout juste 13 ans d’histoire. Mais la firme de Santa Barbara n’a pas traîné. Elle s’est imposée comme l’une des start-up les plus innovantes en matière sonore, anticipant avant tout le monde l’avènement du multiroom. L’idée de ses produits : permettre d’adapter l’ambiance sonore de sa maison en pilotant via une interface unique divers systèmes et enceintes, pour avoir le son que l’on veut, où l’on veut.
Playbar & Play Sub, les amants inséparables
Sitegeek envisageait au départ de tester la Sonos Playbar, barre de son emblématique de la marque, en solitaire. Mais après quelques écoutes, il a été décidé d’intégrer le Sub à l’article. La raison : Playbar & Sub constituent un duo inséparable.
Le Sub, le grand frère né en 2012, est un bon gros caisson de basses (40,2 x 15,8 x 38 cm, 16 kilos), abritant deux haut-parleurs prêts à réveiller les morts. La Playbar, petite sœur plus élancée (90 x 8,5 x 14 cm, 5,4 kilos) est une barre de son dotée de 9 haut-parleurs, datant du printemps 2013. Ensemble, ils forment une alliance entre féminin et masculin, lumière et ténèbres. Le Yin et le Yang de Sonos à l’assaut de l’industrie du Home cinéma. Malgré un ticket d’entrée brutal : 1500 euros la paire !
Packaging : class, chic, pratique
Lors de notre test du Play:3, nous avions souligné l’art du packaging Sonos. Playbar & Sub bénéficient du même soin. Les gros cartons au toucher soft et au graphisme inspiré imposent le respect : Sonos n’est pas là pour rigoler.
Et à l’ouverture, les yeux pétillent. Les enceintes sont délicatement enveloppées dans des housses blanches. Au lieu d’un vulgaire polystyrène, on est séduit par l’ingénieux système de protections en mousses grises thermoformées. Les enceintes sont étonnamment simples à extirper de leurs écrins. On en oublierait presque le poids démesuré du Sub !
Dans les deux packs, on trouve un câble alim et un livret d’accueil un peu léger. Chaque produit a ses bonus : pour la Bar, on se réjouit de trouver un câble réseau et un câble optique, des petit plus plutôt rares.
Le Sub, de son côté, est fourni avec des patins en feutre et un chiffon antistatique. C’est dans les petits plus qu’on reconnaît les grandes marques !
Design : la belle Bar et la bête Sub
Sonos fait fort côté design. Si Playbar & Sub n’ont pas grand-chose en commun, ils portent en eux l’ADN de la marque. Un mélange entre rétro futurisme et une touche hi-fi haut-de-gamme. La Playbar, féminité oblige, fait la part belle aux lignes élancées.
La grande mousse noire suggère un son au spectre large. Les plaques en plastique gris, à l’avant et à l’arrière, les nervures noires laquées et les grilles noires sur les côtés apportent un contraste élégant. Une référence discrète aux berlines à l’anglaise, type Jaguar.
Et si la Bar est une Jaguar, le Sub, lui, est un Hummer ! Cet anneau noir laqué dégage une puissance sans limite.
Flashy, imposant, le Sub n’aurait pas fait tâche dans un décor de science-fiction. Au cœur, le cercle argenté dissimule deux haut-parleurs, face-à-face.
On sent que la machine est très stable sur son support rectangulaire. Reste un mystère : si le chiffon antistatique est indispensable au quotidien pour ce Sub attire-poussière… à quoi peuvent bien servir les patins ? La notice explique qu’ils protègeront le Sub, en position couchée. Mais qui l’utilisera dans ce sens?
Connectique : Sonos nous laissera toujours sur notre faim
Une simple et petite entrée réseau. Le Sub ne déborde pas de connectiques ! Il dialogue avec la Playbar via un routeur réseau, sans fil. Evidemment, un caisson de basses ne se suffit pas à lui-même, et on n’espérait pas qu’il soit totalement autonome. Mais là, il ne l’est pas du tout ! Impossible de le brancher à un ampli classique pour en faire le caisson de tout autre système son… La prise réseau ne sert que pour des problèmes de configuration. Un peu juste !
La Playbar fait à peine mieux, avec deux entrées réseau, et une entrée optique dédiée aux télévisions. On regrettera l’absence d’HDMI ou d’entrée RCA : toutes les télés n’ont pas de sortie optique ! De même, un petit port USB ou jack, c’est parfois… utile.
Le point noir à nos yeux, c’est que le système Sonos ne fonctionne qu’en architecture fermée. Impossible d’accéder aux enceintes en Wifi direct, en Bluetooth ou même en Airplay. Les fans soulignent que c’est un gage de stabilité, et que lorsqu’on achète Sonos, on achète un esprit multiroom, pas une simple enceinte. Mais cela découragera les amateurs de simplicité… D’autres marques prouvent qu’on peut concilier multiroom et connectivité universelle !
Prise en main : connaissez-vous la torture californienne ?
C’est une certitude : un esprit pervers, ancien cadre dans l’administration sans doute, a imaginé la configuration Sonos. Pour la rendre longue… et douloureuse.
On pourrait, comme dans notre test du Play:3, déplorer la complexité de l’installation de Playbar & Sub. Mais on a préféré vous résumer une configuration complète en une (courte) vidéo…
https://www.youtube.com/watch?v=i2B0Bz1JQU8&feature=youtu.be
Vous ne rêvez pas. Il faut 50 étapes pour configurer Playbar & Sub ! Ou comment perdre 30 minutes avant de lancer son premier film ! Un point intéressant : la Playbar reconnaît votre télécommande, et répond quand on veut monter ou baisser le volume. Pratique, mais il y a un défaut : les télés Samsung affichent alors un message d’erreur, même si le volume de la Sonos évolue. Et on a beau chercher, pas moyen de le désactiver. Le genre de détail un peu agaçant, tout de même.
Attention, il faut être honnête. Une fois le supplice terminé, le système est d’une stabilité exemplaire, sans aucune latence. Par contre, la gestion n’est pas optimisée : que cela soit sur smartphone ou ordinateur, l’appli maison n’est pas ergonomique. Switcher de la télé à sa musique, créer une playlist, gérer ses comptes streaming comme Tidal… Ces opérations basiques deviennent un vrai challenge pour un débutant. On regrettera le style nineties de l’application Mac, quand on voit la qualité graphique de la version smartphone.
Son : quand la puissance embrasse la finesse
Si vous avez survécu à la configuration, bravo : vous serez récompensé ! Dès qu’ils se décident ENFIN à émettre un son, le duo Playbar & Sub a du répondant. Les basses sont dopées, léchées, millimétrées, grâce aux pouvoirs maléfiques du Sub. C’est puissant, c’est violent, et si l’enceinte ne vibre pas, vos murs, vos vitres et vos voisins s’en chargeront !
La Playbar se fait plus discrète. Presque trop, parfois. Elle délivre un son très aérien, que certains jugeront un peu trop lisse. Mais on est touché par la qualité des voix, la précision extrême des aigües. Les fréquences moyennes semblent atrophiées, mais le résultat fait mouche. Playbar & Sub renvoient à des années-lumière toute enceinte de télévision. Les films à grand spectacle sont magnifiés, les documentaires animaliers prennent une nouvelle envergure. Un programme moins tonique n’y gagnera pas grand chose, cependant.
En mode Surround, avec deux Sonos Play:3 derrière le canapé, l’expérience n’est pas inoubliable. Le résultat est sympathique, mais le rendu Surround est un peu artificiel. Pas de quoi nous plonger au cœur de l’action, comme le font très bien les systèmes Focal, par exemple.
Et si l’on veut écouter de la musique ? Lors de notre test avec Tidal, en mode hifi, la mélodie était d’une jouissive clarté. Même si cela manque un peu de corps sur les morceaux les plus complexes ou atmosphériques. Bref, Playbar & Sub régaleront surtout les amateurs de films et musiques mainstream. Mais n’est-ce pas l’objectif ?
En résumé
Packaging
Design
Connectique
Prise en main
Son
Mitigé
Le combo Playbar & Sub est beau, puissant et sa fiabilité est irréprochable. Mais le son est perfectible et la prise en mains épuisante. Dommage.
Conclusions hâtives de l’ami Gwen le Frenchy
Si beau et bien packagé, le combo Playbar & Sub est un duo d’enfer qui apportera une nouvelle dimension sonore à votre salon. Néanmoins, la complexité de la prise en main et la légèreté de sa connectique en font des objets réservés aux fans de la marque. Trop élitiste, Sonos ? Dommage : la qualité, ça se partage !
Retrouvez plus d’infos sur le site officiel Sonos.
Et vous, êtes vous fan de Sonos ? Êtes-vous pour ou contre les systèmes en architecture fermée ?
Gwenaël Cadoret (le Frenchy)
En résumé
Packaging
Design
Connectique
Prise en main
Son
Mitigé
Le combo Playbar & Sub est beau, puissant et sa fiabilité est irréprochable. Mais le son est perfectible et la prise en mains épuisante. Dommage.
Le combo qui fait pleurer vos voisins
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Merci à Qwen et ses contractuels (Antoine plus précisément). On a jamais strictement le même avis sur un produit.
Je ne sais pas si l’ensemble SONOS proposé fait partie du haut de gamme pour le consommateur de classe moyenne.
J’aurai aimé un avis sur ce point : quand on est moyennement mélomane (95% de la population), en a t’on pour son argent ? Apparemment oui.
Les 30 ou 50 minutes de configuration me paraissent ridicules quand on les compare aux délais d’installation d’un vidéoprojecteur, du câblage afférent, de la pose de l’écran encastré…. Bref, passer même une heure à configurer son environnement home cinéma doit constituer un réel plaisir, une fois que tout le hardware est installé, branché…
C’est en tout cas mon avis de néo-geek, d’autant qu’il y a effectivement beaucoup de capture d’écran, mais c’est bien à destination du neuneu de base qui saura (a priori) s’y retrouver grâce à ces explications ultra démonstratives.
J’ai écouté un ensemble SONOS tel que décrit. Et c’est bluffant. Et oui quand on aime pas les fils qui trainent, c’est vendu d’emblée. D’autant que les enceintes fonctionnent avec le système connecté d’Amazon (Alexa). Pour les autres, je ne sais pas mais surement.
Le seul point a reprocher est l’impossibilité (apparemment) de brancher des HP filaires déjà détenus par le futur propriétaire (donc je me sépare des mes petites boses accoustimass).
Voili-Voilou. Encore Merci pour toutes ces remontées d’infos.
Serge
Lire contradicteurs en lieu et place de contractuels… Sorry
Je ne comprend pas, pas de connexion bluetooth … on fait comment pour lancer de la musique sur son home cinéma ? (Pour par exemple jouer à un jeu vidéo sans le son)
Quel est le meilleur choix entre ce système Sonos et un système Bose ? (soundbar 500 + bose bass module 500 + bose surround speakers)
Merci à vous.
Sincèrement, cela dépend. Stabilité + peu de liberté > Sonos. Liberté + configuration plus risquée > bose. Mais B&O, Naïm ou Cabasse ont également de quoi plaire !
ca beauté nous fait rever merci de nous le donner avec votre genereusité
Bizarre que j’étais pas tombé sur cet article plus tôt. Moi qui guette toujours une bonne promo ou une vente en seconde main du Sub SONOS…
Et oui je possède déjà la Playbar, et j’en suis plus que ravi ! Je l’utilise principalement, pour écouter ma médiathèque présente sur un NAS. Même si le résultat obtenu est plus que correct, l’ajout du Sub donnerait à coup sur une autre dynamique !
Je ne comprends pas la galère que vous avez eu à configurer le système. Peut-être le combo Playbar – Sub !?
Pour ma part: déballage + branchement + configuration = moins de 15 minutes… (médiathèque entièrement accessible, ajout des différents services d’écoute, des radios, etc,…)
Par contre, je pensais m’être complètement informé sur le Sub, mais je suis surpris d’apprendre en vous lisant que le port Ethernet “ne sert que pour des problèmes de configuration”, moi qui ai des prises réseaux dans chaque coin de chaque pièce de la maison, j’aime me passer du WiFi autant que possible. Surtout pour du matos “fixe” !
Vous me confirmez que l’échange avec le réseau et le sub ne se fait qu’en WiFi ?
Gwenaël, il n’y a aucune contradiction à ma venue et pour vous dire la vérité, j’avais déjà oublié votre site. Je recherchais simplement une review du Play:5 (2nd Gen) et en triant par date, j’ai vu votre “review” où j’ai été interpelé car la Playbar et le SUB commencent à dater. Ce n’est qu’en lisant votre article et en voyant votre photo que je vous ai reconnu.
Maintenant concernant le vrai sujet et tout comme pour votre premier retour, vous ne semblez pas comprendre l’essence de mes propos. Je ne reviens pas sur le fait qu’il soit important de parler de votre expérience et quand bien même vous fassiez tout pour garder votre objectivité, votre test sera forcément subjectif surtout sur des produits audiophile où la perception de tout à chacun est bien différente et il est une perte de temps d’aller débattre dessus.
En revanche, concernant l’expérience utilisateur, je déplore dans votre article la façon dont vous le tournez laissant à penser à son lecteur que le “setup” est compliqué, point barre et qu’il n’y a pas d’autres expériences possibles alors que vous vous retrouvez fasse un produit dont le constructeur et la plupart des tests mettent en avant sa simplicité d’installation. En qualité de rédacteur de tests technophiles, cela devrait vous interpeler et, à minima, vous devriez nuancer vos propos dans votre article en indiquant que vous vous avez eu une expérience que vous avez jugé “compliquée” malgré le consensus général qui dit le contraire. Et la, à mon sens, cela devient un point intéressant à partager au lecteur qui se dit “Ok, cela peut être compliqué” et/ou “Ok, il a peut être une configuration particulière qui a rendu la chose plus compliquée car de manière générale, c’est à priori très simple”.
Concernant les 50 “écrans de configurations” et je dis bien “écran” et pas “étapes”, là où vous manquez d’objectivité et où je vous redis que vous ne comprenez pas la philosophie du produit:
– Elles visent les non-technophiles (donc ni vous, ni moi) et sont elles sont ultra-détaillées (les étapes où l’on vous dit de brancher les appareils, effectivement, on peut s’en passer mais pour d’autres audiences, ils apprécieront)
– En continuant sur l’aspect non-technophile: avez-vous déjà mis en oeuvre un 5.1 et configuré / optimisé le son ? Car à l’issu de cette configuration, vous avez quand même une installation sans fils 5.1, avec son son optimisez et vous n’avez eu besoin d’aucunes connaissance spécifiques pour en profiter, le produit vous a posé des questions simples et en y répondant, il paramètre tout pour vous sans avoir à vous inquiéter d’aller dans les paramètres avancés compliqués, etc.
– Vous ne mettez pas en avant que vous faites une association de 5 composants indépendants ensemble. A la base, tous les produits “pairés”, sont des produits indépendants qui délivrent peuvent se combiner pour faire un 5.1. Alors, oui, quand vous voulez le mettre en place, il ne suffit pas de brancher les appareils qui se reconnaissent tous de suite ensemble car ils ont l’avantage de pouvoir être indépendant et si un jour, la personne en question veut faire évoluer son installation, elle a aussi l’avantage de pouvoir réutiliser son SUB et ses Play:3 pour autres chose. Objectiver votre test, c’est mettre ca en avant. Vous faites part de ce que vous considérez être un inconvénient pour vous mais vous montrez aussi pourquoi c’est ainsi et éventuellement les aspects positifs
– Concernant la qualité du son en 5.1: vous omettez de dire (ou vous ne le savez peut être pas -> i.e. recherche sur Internet quand on fait un test) que de base, l’ensemble transforme du son 2.0 de votre TV en 5.1 virtuel, donc du coup, ce que vous avez constaté sur les programmes tv de base, c’est “normal” car la barre ne peut pas recréer un vrai 5.1, elle améliore l’expérience mais elle ne peut pas la sublimer si la source ne le permet pas à la base. Et du coup, vous auriez du parler que fait que la barre, dans une configuration où vous mettez du 5.1 Dolby Digital (films, jeu, etc.) en revanche délivre du vrai 5.1 (et la je vous laisse juger de la qualité) mais qu’en revanche, *warning*, la barre ne supporte pas le DTS
Voila en conclusion les éléments que j’aurais pu attendre d’un bon test pour m’aiguiller dans mon achat. Or, il en manque pleins et encore une fois vous ne creusez pas le sujet. Certes, je suis un client SONOS, je défends le produit mais j’ai bon nombre de critique à lui faire qui me gène dans mon quotidien pour pleinement en profiter. En revanche, dans ma démarche, je suis objectif et même si je reste convaincu de mon achat, quand les gens me demandent si ca vaut le coup, je les préviens toujours des aspects négatifs et leur disant que ce n’est pas pour tous le monde.
Je ne peux que vous remercier d’avoir pris autant de temps pour nous répondre.
Je crois que le débat pourra être éternel, je ne vais pas le relancer.
Je vais donc résumer mon propos :
– il n’y a jamais été question que nos tests soient “purement objectifs”… je dirai même bien au contraire. Et c’est ce que cherchent nos lecteurs, également !
– quand on a testé en moins d’un mois la config Sonos et la config Naim, la différence est trop flagrante pour ne pas la souligner.
– le 5.1 est évoqué dans l’article, même si le résultat ne m’a pas du tout ébloui (à la différence de Focal)
Mais rassurez-vous, on devrait se recroiser : d’autres tests Sonos sont au programme :)
bonjour pouvez vous me donner la puissance sonore de la playbar sonos cordialement
Encore une fois, votre histoire de configuration devrait être mitigée par une simple recherche sur Internet qui ne relate pas vos débouards. Il est bien que vous puissiez relater de votre propre expérience mais exprimée ainsi, nous avons l’impressions que c’est toujours le cas alors que ce n’est pas vrai. J’ai reconfiguré tout mon système SONOS ce WE après avoir changé de SSID et la configuration de ma Playbar, SUB, 2*Play:1, 1*Play:5 m’a pris 10mins en tenant compte que la majorité du temps, j’attendais que l’application configure pour moi la connexion entre les enceintes.
Bonjour Antoine, et merci pour votre fidélité à notre site pour défendre les produits Sonos. C’est intéressant, la contradiction !
Par contre, je ne suis pas d’accord avec vous. Pourquoi, si un test laisse une mauvaise expérience, faudrait-il aller chercher sur le net les raisons de défendre le produit ? Parce que c’est Sonos ? Et que vous aimez ? Ce test a été réalisé sur un temps long, avec l’objectif de raconter une expérience utilisateur. C’est ce que s’efforce de faire l’article. Que votre commentaire défende Sonos et la configuration, c’est super. Mais vous ne pouvez pas me reprocher de ne pas le faire. Où serait mon honnêteté si je cherchais des raisons de nuancer chaque critique. Et du coup, quelle serait la valeur de mes compliments !
Vous êtes habitué à l’architecture Sonos, tant mieux. Jusqu’à preuve du contraire, les captures d’écran de la vidéo n’ont pas été inventées. Et les 50 étapes, pour un débutant, prennent largement une demi-heure, mises à jour obligatoires (et création de compte obligatoire) comprises.
Ce n’est pas toujours le cas, mais ce fut mon expérience, que je raconte dans cet article !
????????
oui